On s'adapte

J'ai beau habiter au Japon, à Kyoto, aimer la cuisine Japonaise et donc prendre beaucoup de plaisir chez les parents de ma demoiselle les dimanche soir, je ne m'y fait pas, chez moi, il y a de l'huile de l'olive et pas de riz. En ce moment, je jongle entre 2 amis: une huile d'ollive classique, française, achetée à l'aéroport avant d'embarquer (au moins, je sais qu'on ne me fera pas de remarque sur le poids de ma valise, cause d'un stress énorme). Quant à l'autre, j'ai pu la récupérer ici, dimanche soir dernier. Cette dernière, n'est pas une huile d'olive commune. Tout d'abord son origine, qui suscite la curiosité: d'une autre île, à 12 heures d'ici, la Nouvelle-Zélande. Et en y regardant de plus près, pas une simple d'huile d'olive vierge extra et première pression à froid, mais huile d'olive infusée. Le parfum de la bouteille: citron, chouette, j'adore ça. Néanmois, c'est surtout de notes florales que l'on remarque, difficile pour le citron, au niveau de nez. Par contre, au palais, c'est frappant, et très intéressant, nouveau. Bon, ça ne va pas avec presque tout comme la classique, mais en salade ou sur un chèvre chaud, ça doit être exquis. j'attend le fromage de chèvre.